Ce n’est pas la désertification qui est le plus à craindre quand on coupe les vielles forêts boréales, même ici au Québec, c’est de perdre la biodiversité naturelle des lieux.
Un appauvrissement qui rend inexorablement les forêts plus vulnérables aux épidémies d’insectes, aux maladies et au changement climatique.
C’est pourquoi il est si vital de conserver des exemples significatifs des écosystèmes naturels (aires protégées).
C’est la mission que s’est donnée l’Action boréale depuis bientôt 20 ans.
Par ses démarches sans relâche, l’Action boréale a contribué de façon significative à augmenter la superficie des aires protégées en Abitibi et au Témiscaminque; faisant passer de 0,5% en 2000 à 7,8% en 2019.
Si vous croyez en notre combat, vos dons peuvent nous rendre encore plus efficaces: https://actionboreale.org/don/
Pour lire l’article du Devoir sur le sauvetage de la dernière vieille forêt d’Europe, cliquez ici.