Aires protégées
Répartition des aires protégées au Québec (Décembre 2020)
Les aires protégées de l’Abitibi-Témiscamingue proposées par l’Action Boréale :
Pourquoi les aires protégées sont importantes
Les aires protégées constituent l’un des éléments fondamentaux pour le maintien de la diversité des espèces, des écosystèmes et des ressources génétiques sauvages ainsi que pour l’atteinte d’objectifs de développement durable.
Les aires protégées apportent une grande variété de bénéfices sur les plans environnemental, écologique, scientifique, éducatif, social, culturel, spirituel et économique.
Sur le plan écologique, la production d’oxygène, la création et la protection des sols, l’absorption et la réduction des polluants, l’amélioration des conditions climatiques locales et régionales, la conservation des nappes aquifères, la régularisation et la purification des cours d’eau sont des exemples des bénéfices attribués aux aires protégées.
Les aires protégées sont des laboratoires en milieu naturel. Elles permettent en tout temps d’obtenir des données uniques sur le fonctionnement des écosystèmes et les espèces. Elles sont aussi des lieux par excellence pour la récréation de plein air, favorisant un bien-être physique et mental.
Sur le plan économique, les aires protégées favorisent la diversification des économies locales et régionales. Elles contribuent à sauvegarder un potentiel biologique qui constitue une ressource naturelle renouvelable permettant le maintien d’activités telles que la chasse, la pêche et le piégeage. De façon très significative, elles soutiennent l’industrie touristique et l’industrie écotouristique, qui sont en plein essor.
De plus, les aires protégées représentent actuellement une des constituantes importantes de la gestion durable des forêts.
– Dans une aire protégée, aucune activité industrielle n’y est admise. Mais dans certaines catégories, on peut continuer à pêcher, chasser, et tenir chalet.
– Une étude menée par l’institut Pembina conclut que, en termes de dollars, la valeur des services fournis naturellement par un écosystème boréal est trois fois et demie plus importante que la valeur des retombées par l’exploitation immédiate de ses ressources.
– Le Québec s’est engagé 1992 à protéger 12% de chacun de ses grands écosystèmes (il y en a treize). Vingt-trois ans plus tard, cet objectif, maintes fois reporté, n’est toujours pas atteint. L’Action boréale a œuvré pour que ce taux soit atteint en Abitibi-Témiscamingue. De 0.6% qu’il était en 2000, il est maintenant rendu à 9.4% en 2015.
Consultez la carte des aires protégées ou en voie de l’être.
Aires protégées
C’est particulièrement avec le Rapport Brundtland en 1987, puis avec Le sommet de Rio en 1992 (cf origines et évolution des aires protégées…), que la notion d’ « aire protégée » s’est imposée dans le monde. Déjà, dans ces années, on proposait un seuil minimum de 12% de territoires à protéger pour assurer la survie de base des grands écosystèmes et de la biodiversité nécessaires au bien être des générations futures.
Les aires protégées constituent l’un des éléments fondamentaux au maintien de la diversité des espèces, des écosystèmes et des ressources génétiques sauvages ainsi qu’à l’atteinte d’objectifs de développement durable.
Les aires protégées apportent une grande variété de bénéfices sur les plans environnemental, écologique, scientifique, éducatif, social, culturel, spirituel et économique.
Sur le plan écologique, la production d’oxygène, la création et la protection des sols, l’absorption et la réduction des polluants, l’amélioration des conditions climatiques locales et régionales, la conservation des nappes aquifères, la régularisation et la purification des cours d’eau sont des exemples des bénéfices attribués aux aires protégées.
Les aires protégées sont des laboratoires en milieu naturel. Elles permettent en tout temps d’obtenir des données uniques sur le fonctionnement des écosystèmes et les espèces. Elles sont aussi des lieux par excellence pour les activités de plein air, favorisant un bien-être physique et mental.
Sur le plan économique, les aires protégées favorisent la diversification des économies locales et régionales. Elles contribuent à sauvegarder un potentiel biologique qui constitue une ressource naturelle renouvelable permettant le maintien d’activités telles que la chasse, la pêche et le piégeage. De façon très significative, elles soutiennent l’industrie touristique et l’industrie écotouristique, qui sont en plein essor.
De plus, les aires protégées représentent actuellement une des constituantes importantes de la gestion durable des forêts.
Dans une aire protégée, aucune activité industrielle n’est admise. Mais dans certaines catégories, comme la plupart de celles proposées par l’Action boréale, on peut continuer à pêcher, chasser et tenir chalet.
Une étude menée par l’institut Pembina conclut que, en termes de dollars, la valeur des services fournis naturellement par un écosystème boréal est trois fois et demie plus importante que la valeur des retombées par l’exploitation immédiate de ses ressources.
Le Québec s’est engagé 1992 à protéger 12% de chacun de ses grands écosystèmes (il y en a treize). Vingt-six ans plus tard, cet objectif, maintes fois reporté, n’est toujours pas atteint. L’Action boréale a œuvré pour que ce taux soit atteint en Abitibi-Témiscamingue. De 0.5% qu’il était en 2000, il est maintenant rendu à 9.7% en 2018.
VOIR:
ORIGINES ET HISTORIQUE DES AIRES PROTÉGÉES
CARTE DES AIRES PROTÉGÉES PROPOSÉE PAR L’ACTION BORÉALE EN 2002
CARTE DE L’AIRE PROTÉGÉE KANASUTA-FRÉDÉRIC-BACK PROPOSÉE PAR L’ACTION BORÉALE EN 2013