À part l’Alliance boréale, véritable pom-pom boys de l’industrie forestière, tous les intervenants: autochtones, travailleurs forestiers, écologistes… dénoncent la proposition actuelle de Maïté, ministre des forêts qui vise à moderniser le régime forestier uniquement au profit des extractivistes.
Il est temps de réclamer un portrait à jour de notre trésor collectif qu’est « notre » forêt publique avant de déterminer ce qui doit être prélevé ou conservé. Ce portrait devra inclure impérativement toutes les composantes du capital nature et des écoservices que nous procurent généreusement les écosystèmes.
Henri Jacob, président