En Abitibi, combien d’élu.e.s se disent préoccupé.e.s par la perte des milieux humides ?
Le MELCC (ministère de l’environnement), dans une logique mercantile, travailles à en faciliter la privatisation au nom du développement « durable ». Avec un tel chien de garde, je me demande si on ne devrait pas le remplacer par un détecteur de mouvement. C’est probablement la même chose dans les autres régions dites « ressources ».
Henri Jacob, Président de l’Action Boréale.
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