« On aurait très bien pu enclencher toutes les procédures en même temps, mais ce n’est pas ce qui a été fait. À mon avis, il a été décidé de lancer d’abord les procédures pour l’usine et le port, qui auront des appuis politiques régionaux. Les gouvernements devraient donc appuyer le projet. Et par la suite, il ne sera pas possible de refuser le projet de gazoduc. » Jean Baril, spécialiste en droit de l’environnement.

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